Mettez à jour vos Paramètres de Cookies pour utiliser cette fonctionnalité.
Cliquez sur 'Tout autoriser' ou activez uniquement les 'Cookies pour une publicité ciblée '
En continuant, vous acceptez notre Politique de confidentialité qui détaille comment vos données sont utilisées et sécurisées.
J'ai compris
Non à la vente des médicaments par Internet

Non à la vente des médicaments par Internet

1 personnes ont signé. Allons jusqu'à
50 soutiens

Fermer

Finaliser votre signature

,
En continuant, vous acceptez de recevoir les courriels d'Avaaz. Notre Politique de confidentialité protège vos données et explique comment elles peuvent être utilisées. Vous pouvez vous désinscrire à tout moment. Si vous avez moins de 16 ans, demandez l'accord de votre responsable légal.
Cette pétition a été lancée par François-Loïc P. et ne représente peut-être pas un positionnement d'Avaaz
François-Loïc P.
a lancé une pétition à destination de
Marisol Touraine; Ministre des Affaires sociales et de la Santé; France

> Important, adresse courte de la pétition à diffuser et à utiliser : www.qdn.fr !

Affirmons notre opposition à la vente de médicaments sur Internet.

Cette pratique est incompatible avec l’exécution intégrale de l’acte de dispensation pharmaceutique. Le maillage officinal est suffisant pour permettre à la population d’avoir accès aux médicaments facilement et la dispensation à domicile existe pour les personnes qui ne peuvent se déplacer.

Cette décision entraîne un risque de concurrence inacceptable entre officines et une possible mise en difficulté du maillage qui assure à chaque citoyen de disposer d'une officine près de chez lui.

Le fait de confier la vente en ligne de médicaments à des pharmaciens donnera un sentiment illusoire de sécurité au patient tout en l’incitant à la surconsommation, avec la possibilité de tomber sur des médicaments illégaux ou falsifiés : en effet, sera-t-il simple de faire la différence entre les sites autorisés et les sites qui distribuent des contrefaçons ?

N'oublions pas que les études de pharmacie, longues et sélectives, n’ont pas pour but de former de simples logisticiens de sites Internet sécurisé.

Appliquer une directive européenne qui touche à la Santé n'est pas automatique. En effet, le traité de Rome, texte fondateur de l'UE, garantie un droit de subsidiarité des pays sur les questions touchant à la Santé. Pour contourner cela, Bruxelles utilise l'argument de la libre concurrence communautaire : la preuve qu'on cherche à régir la santé uniquement par une approche économique. Cela est inacceptable et la France doit oser protéger son système de santé.

OBJECTIF : 5000 signataires d'ici vendredi. On compte sur vous !

Merci au Moniteur des Pharmacies pour son article et à Celtipharm également : on compte aussi sur les relais presse, à chacun d'agir comme il peut pour cela.

Publiée (Mis à jour )