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Justice pour les victimes des essais nucléaires français
Moruroa E.
a lancé une pétition à destination de
François HOLLANDE, Président de la République française
Depuis 1984, Bruno Barrillot, chercheur à l’Observatoire des armements (www.obsarm.org), dénonce sans relâche les atteintes à la santé des personnels et des populations et à leur environnement provoquées par les 210 essais nucléaires de la France au Sahara et en Polynésie. Il a participé à la création de l'Aven (association des vétérans des essais nucléaires) en métropole et de Moruroa e tatou en Polynésie.
En 2005, à l’appel des autorités polynésiennes, il a été engagé pour assurer le suivi des conséquences des essais nucléaires en Polynésie. Son action, aux côtés des associations, a contraint le gouvernement français à commencer la réhabilitation des anciens sites nucléaires, à faire voter, au Parlement français, une loi d’indemnisation des victimes des essais nucléaires qui, hélas, n’indemnise quasi personne. En 2010, le prix international « Nuclear Free Future » lui a été décerné à New York.
Le 13 juin 2013, le nouveau gouvernement de Polynésie dirigé par Gaston Flosse – plusieurs fois condamné pour détournements de fonds publics et fervent partisan des essais nucléaires de la France – a licencié Bruno Barrillot pour faire taire son action pour la vérité et la justice à l’égard des victimes des essais nucléaires.
Si nous sommes nombreux à soutenir l’action de Bruno Barrillot et des associations, nous ferons appel au Président François Hollande afin qu’il mette en œuvre au plus tôt les promesses qu’il avait faites pour réparer les injustices et les dégâts causés par les essais nucléaires de la France.
En 2005, à l’appel des autorités polynésiennes, il a été engagé pour assurer le suivi des conséquences des essais nucléaires en Polynésie. Son action, aux côtés des associations, a contraint le gouvernement français à commencer la réhabilitation des anciens sites nucléaires, à faire voter, au Parlement français, une loi d’indemnisation des victimes des essais nucléaires qui, hélas, n’indemnise quasi personne. En 2010, le prix international « Nuclear Free Future » lui a été décerné à New York.
Le 13 juin 2013, le nouveau gouvernement de Polynésie dirigé par Gaston Flosse – plusieurs fois condamné pour détournements de fonds publics et fervent partisan des essais nucléaires de la France – a licencié Bruno Barrillot pour faire taire son action pour la vérité et la justice à l’égard des victimes des essais nucléaires.
Si nous sommes nombreux à soutenir l’action de Bruno Barrillot et des associations, nous ferons appel au Président François Hollande afin qu’il mette en œuvre au plus tôt les promesses qu’il avait faites pour réparer les injustices et les dégâts causés par les essais nucléaires de la France.
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